top of page

SCIENCES et AU-DELA

“Je crois à une vie après la mort, tout simplement parce que l'énergie

ne peu pas mourir; elle circule, se transforme et ne s'arrête jamais.”

 

Albert Einstein

LES REPONSES DES SCIENCES

En premier lieu, il est important de souligner, "une réalité" peut exister sans que les sciences aient une explication ...

Prenons l'exemple de la lumière ... La lumière onde ou particule ?

Le débat remonte à Isaac Newton, qui préconisait que la lumière était constituée de particules et James Clerk Maxwell, dont le succès de sa théorie sur l’électromagnétisme, unifiant les forces de l’électricité et du magnétisme en une seule, s’est fondé sur un modèle de la lumière comme ondes.

Puis, en 1905, Albert Einstein a expliqué un phénomène appelé l’effet photoélectrique en utilisant l’idée que la lumière était constituée de particules appelées photons (cette découverte lui a valu le prix Nobel de physique).

En fin de compte, il y a de bonnes raisons de penser que la lumière est à la fois une particule et une onde. En fait, la même chose semble être le cas de toutes les particules subatomiques, y compris les électrons et les quarks et même pour la récente découverte du boson de Higgs. L’idée est appelé dualité onde-particule et c’est un principe fondamental de la théorie de la mécanique quantique.

Comment expliquer notre survivance par la science ?

​

-- Explications par la Physique quantique ....

​

La physique quantique étudie le monde microscopique des particules élémentaires comme les photons, les électrons. ou encore les atomes. C'est en étudiant le comportement de ces particules élémentaires que l'on s'est rendu compte que le monde microscopique ne répondait pas aux lois de la physique classique qui gouvernent notre réalité quotidienne.

​

Une paire de scientifiques de renommée mondiale sur le quantique disent qu'ils peuvent prouver l'existence de l'âme.
Les physiciens american Dr Stuart Hameroff et britannique Sir Roger Penrose ont développé une théorie quantique de la conscience en affirmant que nos âmes sont contenues dans des structures appelées microtubules qui vivent au sein de nos cellules cérébrales.
Leur idée découle de la notion que notre cerveau est comme un "ordinateur biologique", avec 100 milliards de neurones et leurs axones activées, et les connexions synaptiques qui agissent comme des réseaux d'information".

Le Dr Hameroff, professeur émérite aux départements d'anesthésiologie et de psychologie et directeur du Centre d'études sur la conscience à l'Université de l'Arizona, et Sir Roger Penrose ont travaillé sur la théorie depuis 1996.
Ils soutiennent que notre expérience de la conscience est le résultat d'effets de la gravité quantique à l'intérieur de ces microtubules - un processus qu'ils appellent  objectif de réduction orchestré (Orch-OR).
Dans une expérience de mort imminente,  les microtubules perdent leur état quantique, mais les informations en leur sein ne sont pas détruites. Ou en termes simples, l'âme ne meurt pas mais retourne dans notre univers.

Le Dr Hameroff a expliqué la théorie en détail dans un documentaire narré par Morgan Freeman "Through the Wormhole" ( à travers le vortex), qui a été diffusé récemment aux Etats-Unis par Science Channel.

La théorie quantique de l'âme est désormais une tendance dans le monde entier, grâce à des histoires publiées  par The Huffington Post et le Daily Mail, qui ont généré des milliers de commentaires des lecteurs et des médias sociaux de partages.
" Disons que le cœur cesse de battre, le sang cesse de couler, les microtubules perdent leur état quantique », dit le Dr Hameroff. " L'information quantique dans les microtubules n'est pas détruite, elle ne peut pas être détruite, elle est juste absorbée et disséminée dans tout l'univers. "

« Si le patient est ressuscité, réanimé, cette information quantique peut retourner dans les microtubules et le patient dit : « J'ai eu une expérience de mort imminente ".
En cas de décès du patient, il est parfaitement " possible que cette information quantique puisse exister en dehors du corps indéfiniment - comme une âme ".

Le Dr Hameroff pense que de nouvelles découvertes sur le rôle de la physique quantique qui se jouent dans les processus biologiques, tels que la navigation des oiseaux, ajoutent du poids à la théorie.

Pour Roger Penrose, lorsqu’une personne meurt les microtubules libèrent cette information quantique dans l’univers.
Si la personne est ramenée à la vie alors cette information retourne dans les microtubules.
Cela expliquerait les expériences de mort imminente.
« Si la personne ne revient pas à la vie et meurt définitivement, il est possible que cette information quantique continue à exister éternellement en dehors du corps, comme une âme. »

Les recherches du renommé Max Planck Institute de Munich concordent avec cette hypothèse.
L’univers physique dans lequel nous vivons n’est que l’univers dont nous avons la perception, alors que nous vivons dans nos corps.
« Ce que nous considérons être ici et maintenant, cet univers, n’est en fait que le niveau matériel que nous pouvons appréhender. » Dr Hans-Peter Dürr, Max Planck Institute
Source : Express et Christian Post

Donc "notre ame" ou "notre esprit" à notre mort continuerait d'exister dans un autre plan, une autre dimension.

​

Conférence d' Emmanuel Ransford à Paris février 2017 : La conscience est elle quantique ?

https://www.youtube.com/watch?v=3WIGmA5QDPM&t=659s

​

Un polytechnicien parle de notre immortalité, belle interview de François de Witt par Lilou Macé

https://www.youtube.com/watch?v=DrpBPjkYgo8

​

​

Physique quantique et biologie (NOUVEAUTE)

​

La physique quantique façonne le monde du vivant.

​

Documentaire très intéressant concernant les interactions de la physique quantique et la biologie

https://www.youtube.com/watch?v=qnqA9c1xOnU

​

Les champs morphiques​

Une chercheuse du CNRS, Jacqueline Bousquet, démontre la survivance de "notre conscience" et la réincarnation. (Théorie des champs morphiques)

 

Conférence de Jacqueline Bousquet sur ses recherches.
https://www.youtube.com/watch?v=d0Iq6s9OFQ4

​

Ce qui suit est un résumé des écrits de Jacqueline Bousquet, Docteur ès Sciences Biologie-Biophysique, Chercheur Honoraire au C.N.R.S. et Serge Nahon, Licence ès Sciences de Physique, Doctorat 3° Cycle en Optique Ultrahertzienne . Ce texte a été revu et corrigé par J. Bousquet.

Émile Pinel (15/06/1906-10/05/1985), mathématicien, physicien et biologiste, a démontré l’existence de “champs” pour expliquer le vivant.
Il a repris la notion de champ informationnel qui remonte à Gurdwich en 1904. L’être vivant est complexe mais non pas compliqué. Toutes les cellules possèdent une membrane cellulaire semi-perméable délimitant un contenu, appelé “cytoplasme” (sorte de gel) qui renferme à l’intérieur un noyau.
Ce noyau contient le matériel génétique constitué d’ADN (acide désoxyribonucléique).
La cellule comporte donc deux grands “espaces” : celui du noyau et celui du cytoplasme.
Le noyau est déformable, tout comme le cytoplasme.
Si on provoque un déplacement très petit d’un point dans le noyau, celui-ci se déforme. Il en est de même du cytoplasme.
Dans notre espace habituel, si nous déplaçons un objet (un verre par exemple), les autres objets restent fixes ainsi que les murs de la pièce.
La cellule est comparée à cet espace. Mais ici, lorsque nous déplaçons le verre, tout bouge et se déforme, la table, les objets voisins, les murs de la pièce ..etc….
Les conséquences seront vues plus loin.
Dans le noyau de la cellule, les phénomènes biologiques se font à des vitesses prodigieuses.
Le noyau serait un espace à 3 dimensions spatiales tandis que le cytoplasme aurait 4 dimensions : 3 d’espace et 1 de temps.
Dans le noyau, où se trouve le matériel génétique, il n’y a pas de temps.
Une autre notion est celle de “champ de force”. On peut dire qu’il est l’existence d’une force bien définie en grandeur, direction et sens en tout point de l’espace, comme le champ de pesanteur (le poids des objets) ou le champ magnétique qui fait dévier l’aiguille d’une boussole.
À l’intérieur de la cellule se passe un certain nombre de phénomènes qui font appel à des forces : déformation, transport de molécules etc…
Compte tenu de “l’analogie électrique”, les équations d’Émile Pinel montrent qu’à l’intérieur du noyau de la cellule, les phénomènes qui s’y passent peuvent être décrits en admettant l’existence d’un champ intranucléaire H unique, “physico-psycho-biologique”. (Physique de la cellule vivante des origines à nos jours.
Application en cancérologie. Éditeur Maloine 1981).
Ce champ H est complexe et est présent dès la particule : il est composé de 3 champs de nature différente, H1, H2, H3, ayant eux mêmes trois composantes.
Le champ H a donc 3×3 =9 composantes.
Émile Pinel écrit (La relativité en biologie. Éditeur Maloine 1975) : “Il est évident que l’ensemble des champs H constitue un ordinateur – c’est à dire un programme – dans lequel le champ d’indice 3 transmet les ordres du champ d’indice 2 au champ d’indice 1”.

Émile Pinel donne une définition plus précise des champs H1, H2, H3 (Vie et Mort. Conséquences de la relativité en biologie. Éditeur Maloine 1978) :

- Le champ H2, champ morphogénétique, champ de mémoire renferme toute la programmation cellulaire ; il sous-tend l’ADN. Il est constitué des chromosomes parentaux.

- Le champ H3, champ de forme appelé champ morphique (cf R Scheldrake), permet la transmission des ordres de H2 au champ exécutant. Il est porteur des “impondérables” et assimilé au psychisme.

- Le champ H1, champ morphogénétique, champ physique magnétique analogue à celui d’un aimant, exécute les ordres de H2 qui lui sont transmis par H3.
Il règle la fabrication des différentes protéines et enzymes dans la cellule.
Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique et pourtant ils agissent sur nous.

A la mort ....
Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu les équations indiquent que deux de ces champs “meurent” mais pas le troisième.
L’équation mathématique montre que les champs H1 et H2 “meurent”.
Le champ H2 se déverse dans le champ de forme H3 et l’individu se retrouve “vivant” dans un champ fait de lumière.
Il ne dispose plus de matière à prendre en charge et doit se “réincarner” si on lui fournit un champ de mémoire à animer.
Le champ H3 ne “meurt” pas ; c’est sa variation en fonction du temps qui meurt.
Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant.
C’est-à-dire, c’est sa variation, autrement dit, sa faculté d’acquérir de l’information, qui disparaît au moment de la mort.
Or, il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Émile Pinel sur les malades qu’il a soigné.
Toute action sur H1 ou H2, qu’elle soit physique ou psychique retentit sur H3 et viceversa.
Le champ H3 est défini par nos croyances et change à chaque instant pour s’enrichir de l’expérience de l’Univers, grâce à l’onde psi qui accompagne les particules (voir plus loin).
Nous avons vu au début que l’espace intranucléaire est non euclidien, à trois dimensions.
La quatrième, le temps, n’existe pas ; il est remplacé par des nivaux d’énergie, c’est-à-dire d’informations le long de l’axe de l’ADN, qui est une antenne.
Il est donc différent du nôtre. Les phénomènes s’y réalisent instantanément et le déplacement d’un constituant provoque le déplacement de tout le contenu de cet espace, donc du tenseur fondamental.
En conséquence, toute action effectuée par un thérapeute – quel qu’il soit – modifiera le tenseur fondamental et par là-même le psychisme.
Jacqueline Bousquet, explique que la maladie ne prend jamais naissance dans le corps physique.
Ainsi, pour une créature passive, le corps se présente comme un multivibrateur qui est muni d’une antenne réceptrice à large bande et en liaison avec un étage d’entrée susceptible de s’accorder sur diverses fréquences.
Dans l’état créateur, le processus s’inverse et l’antenne devient émettrice.
De la sorte, l’organisme humain s’apparente à un véritable analyseur de fréquences.
Ledit émetteur est donc un champ physique (au sens étymologique du terme), un champ vibratoire informationnel issu du champ unitaire ultime, dont le caractère, à la fois intemporel, acausal (c’est-à-dire qu’il n’y a pas de cause à l’origine de ce champ) et spinoriel (c’est-à-dire constitué de particules doubles qui tournent), fait étrangement penser au Divin.
Dans ce champ unitaire ultime, il n’y a ni temps ni espace.
Ce champ vibratoire informationnel H3 se présente sous forme de vibrations porteuses d’informations immatérielles.
Le champ unitaire ultime renferme toute la mémoire d’une continuité de vie, autrement dit tout · ce à quoi nous nous sommes identifiés, · ce que nous avons accepté de croire, · ce que nous avons fait.
 

livres à lire :

"La conscience quantique et l'au-delà" d'Emmanuel Ransford,

"La vie et mort" d'Emile Pinel,

"La preuve par l'âme" de François de Witt,

"L'invisible et la science" de Patricia Darré (partie physique quantique à la fin du livre, avec la rencontre de la médium Patricia Darré avec Massimo Téodorani astrophysicien, docteur en physique stellaire)

Pour l'anecdote, David Bohm grand physicien du XX ème siecle, décédé brutalement d'une crise cardiaque dans un taxi à New-york, rentrera en contact par écriture automatique avec Patricia Darré pour transmettre des formules à Massimo Téodorani.

​

​

-- Explication par les neurosciences.


Les neurosciences peuvent-elles expliquer la survivance de notre conscience ?

​

Pour la majorité des neuroscientifiques, notre conscience est le produit de notre cerveau comme la bile par notre foie, voir Jean-Pierre Changeux, partisan de « la matière pensante ».

Mais certains neuroscientifiques émettent une autre hypothèse.

Sir John Eccles, prix Nobel de médecine, pensait que notre conscience pourrait subsister indépendamment de notre corps et donc de notre cerveau.

Sir John Eccles est l'un des plus grands neurologues du XXe siècle. Il fait partie de ces hommes qui ont contribué de façon décisive à l'énorme augmentation de nos connaissances concernant notre cerveau. Ses travaux les plus importants ont porté sur l'étude des synapses, de l'influx nerveux, et ont débouché sur la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de ce dernier, découverte qui lui a valu le prix Nobel de médecine en 1963.

​

Des études de spécialistes de la mémoire tout aussi diplômés et compétents que les tenants de la thèse matérialiste, et tout aussi sérieux, émettent la thèse que notre mémoire n'est peut-être pas dans notre cerveau, ni ailleurs dans notre corps, mais dans une autre dimension.

Des scientifiques du laboratoire de physique de Los Alamos et du National Institute of Discovery Science qui l'ont con­firmé dans cette piste en lui expliquant que « les énergies que nous dégageons sous forme de pensée et de comportement ne dis­paraissent pas, mais survivent quelque part dans la Nature » . C'est là que notre cerveau puiserait directement ses souvenirs.

On est très près, dans cette hypothèse, des « archives akashiques » de la tradition de l'Inde.

Notre lobe temporal droit ne serait que l'interface permettant à notre cerveau de communiquer avec cette « banque de données univer­selle » . Ce serait également le lieu de notre communication avec le monde des anges, et même avec Dieu.


Dans son livre "La preuve du paradis", le neurochirurgien Eben Alexander évoque cette hypothèse comme explication de sa NDE effectuée lors de son coma suite à une méningite qui a rendu son cerveau "inactif".

​

Le Cardiologue Pim van Lommel étudia dans les années 90 les NDE.

A la question posée par l'INRESS : Selon vous, quelle pourrait être la fonction du cerveau par rapport à la conscience ?
Il répond : "Je pense que le cerveau joue un rôle de facilitateur. Il nous permet de faire l’expérience de notre conscience éveillée. Mais elle n’est pas produite par lui, tout comme les millions de sites qu’on trouve sur le web ne sont pas produits par votre ordinateur mais reçus et transmis par lui. Vous pouvez comparer votre cerveau à une caméra de télévision, qui code des images et des sons en informations électromagnétiques qui pourront ensuite être décodés. Coder et décoder, c’est ce que fait le cerveau. Pour faire l’expérience de la conscience éveillée, nous avons besoin d’un cerveau en état de marche. Mais la conscience n’est pas localisée dans le cerveau, elle a un aspect non-local, c’est-à-dire hors de l’espace et du temps. C’est à cette conclusion que je suis arrivé à partir du contenu des EMI.​"

​

Livres à lire :

"Les preuves du Paradis" du neurochirurgien Eben Alexander (partie du livre analysant sa NDE)

​​

Interview du Dr Mario Beauregard par Lilou Macé, Les pouvoirs de la conscience & le post-matérialisme.

Mario Beauregard, PhD., est un chercheur en neuroscience présentement affilié au département de psychologie de l'Université de l'Arizona. Il a reçu un baccalauréat en psychologie et un doctorat en neuroscience à l'Université de Montréal. Il a également effectué des stages postdoctoraux à l'Université du Texas (Houston) et à l'Institut Neurologique de Montréal (Université McGill).

https://www.youtube.com/watch?v=H2xsCeXwr_U

​

​

-- Explications par la parapsychologie ...


Les phénoménes de NDE, de médiumnités, de télépathie, de réincarnation, de remote viewing (perception à distance)  sont étudiés avec une approche scientifique à travers le monde dans des centres ou des départements d'universités.

​

Etats des lieux

​​

Le développement actuel de la parapsychologie reste donc complexe et certains pays ayant auparavant une recherche de pointe sur ces questions, tels les Etats-Unis, semblent être à présent dans une période de récession pour ce type de recherche.

Il s’agit probablement de la conséquence des difficultés rencontrées par les parapsychologues qui restent globalement les mêmes depuis la Deuxième Guerre mondiale : la trop grande hétérogénéité du niveau de la recherche et des expérimentations, les problèmes de reproductibilité, l’absence d’explications sur le plan physique et le manque de modèles théoriques testables.

Les chercheurs en milieu universitaire sont donc souvent dans une situation difficile, d’autant plus que la parapsychologie reste l’objet d’une importante désinformation et que les travaux sérieux qu’elle peut produire sont mal diffusés auprès de la communauté scientifique.

Cela conduit à une certaine méfiance envers la parapsychologie qui n’est pas toujours dénuée de fondements. Le niveau des organisations et des chercheurs recensés est en effet très variable. On remarquera également la grande variabilité de niveau et d’activité parmi les organismes privés, dépendants des financements de mécènes.

source : Institut Métapsychique International


Exemples de centres d'études ....


La Division des études perceptuelles à l'Université de Virginie.
University of Virginia Health System
Division of Perceptual Studies, P. O. Box 800152 -
Charlottesville, VA 22908
tel : (434) 924-2281
https://med.virginia.edu/perceptual-studies

La Division des études perceptuelles (DOPS) est une unité du département de médecine psychiatrique de l’Université de Virginie. Elle a été fondée en 1967, lorsque le Dr Ian Stevenson quitta la chaire du département de psychiatrie pour devenir directeur de la division et professeur à la chaire Chester F. Carlson de psychiatrie, fonctions qu’il a conservées durant 35 ans.
Au début de 2002, Dr Bruce Greyson, membre du DOPS depuis 1995, prit à son tour ces deux fonctions, permettant au Dr Stevenson de consacrer plus de temps à l’écriture d’ouvrages et d’articles à propos de ses recherches.
Les recherches concernent les Expérience de mort imminente, les apparitions lors de crises, les visions au seuil de la mort, les enfants qui disent se souvenir de vies antérieures, l’histoire de la psychologie et de la recherche psychique, les OBE.

Le DOPS dispose d’un équipement moderne pour le stockage informatique et l’analyse des données. Une grande salle de l’immeuble de la Division contient l’intégralité des fichiers de cas étudiés par l’équipe et ses collègues. Les dossiers incluent les données de plus de 2600 cas suggérant la réincarnation et plus de 800 cas de personnes qui ont frôlé la mort. Il y a également quelques cas d’autres types de phénomènes paranormaux, comme les impressions télépathiques et les apparitions. Un immeuble plus petit derrière l’immeuble principal sert, à l’occasion, à la fois comme laboratoire pour les expériences que comme appartement pour les collègues et consultants qui visitent la Division. Une bibliothèque spécialisée est également présente dans cet immeuble.

​

Y a t-il une vie apres la mort, 50 ans de recherche à l'Université de Virginie.
Conférence trés intéressante du Dr Jim Tucker (il a pris la suite du Dr Ian Stevenson) de l'Université de Virginie.

https://www.youtube.com/watch?v=0AtTM9hgCDw

Conclusion

Notre conscience, notre esprit apparait être hors de notre cerveau. Pour faire simple, notre cerveau ne comprend pas notre conscience mais il est un interface, un récepteur de notre conscience, comme un téléviseur.

Aussi si on casse son téléviseur, l'émission continuera d'exister.

Cette thèse émise par certains neuroscientifiques ou physiciens quantique, opposée au dogme matérialiste, permet d'expliquer les contacts médiumniques ou les expériences de NDE.

Donc, notre conscience, notre esprit peut survivre à notre mort dans une autre dimension.

​

bottom of page